Vous remonterez la rivière dans la forêt de Carite près de San Juan, escaladerez des cascades avec des cordes, ferez un rappel de 25 mètres à El Salto, puis traverserez trois tyroliennes. Un guide local partage ses histoires tout au long du parcours. Terminez la journée autour d’un repas maison portoricain en montagne—un souvenir qui reste longtemps après avoir séché.
Je ne m’attendais pas à ce que mes chaussures se remplissent d’eau aussi vite—apparemment, faire confiance aux chaussettes “séchage rapide” dans la forêt de Carite, c’est risqué. Le trajet depuis San Juan n’a duré qu’une quarantaine de minutes, mais on avait l’impression d’avoir débarqué ailleurs : la brume flottait sur les collines, des chiens errants traversaient la route, et notre guide José nous montrait des ruines de canne à sucre en montant. Il racontait des histoires sur les pétroglyphes taïnos et la recette secrète de sofrito de sa grand-mère—franchement, j’essayais juste de retenir tous les noms.
La randonnée a commencé tranquillement, puis on est arrivé au sentier le long de la rivière et là, tout le monde riait, glissait sur les rochers mouillés (personne n’est tombé, mais ça a frôlé), s’agrippait aux cordes tendues par les guides. Le bruit de la cascade se faisait de plus en plus fort en montant. Au sommet d’El Salto, j’ai hésité—25 mètres paraissent bien plus hauts quand on est là, casque de travers et cœur qui bat la chamade. José a vérifié mon harnais (“tranquila”, m’a-t-il dit), puis je suis descendu, la fraîcheur de l’eau en spray partout, les mains tremblantes mais avec un sourire idiot une fois en bas.
Ensuite, place aux tyroliennes—trois lignes à travers des arbres remplis de chants d’oiseaux et cette odeur verte épicée que je n’arrive toujours pas à décrire. Mon ami a crié sur la première (pas moi, vraiment pas). Quand on est revenus au camp de base, on avait tous l’air d’avoir vécu quelque chose ensemble. On a enfilé des vêtements secs et on est allés chez “Grand-mère” pour le déjeuner—riz, haricots, poulet mijoté dans un truc incroyable. La cuisine sentait l’ail et la coriandre; j’aurais voulu mettre ça en bouteille pour ramener chez moi.
Il faut environ 45 minutes en voiture de San Juan à la forêt d’État de Carite.
Vous ferez une randonnée en remontant la rivière, escaladerez des cascades avec des cordes, ferez un rappel de 25 mètres à la cascade El Salto, puis prendrez trois tyroliennes pour revenir au camp de base.
Oui, la prise en charge est incluse depuis certains hôtels à San Juan, Condado ou Isla Verde.
Un repas portoricain fait maison est servi—généralement riz, haricots et poulet (parfois porc), avec des options végétariennes sur demande préalable.
Oui—le poids maximum est de 100 kg (selon la taille) et l’âge minimum est de 12 ans ; les enfants doivent être accompagnés d’un adulte.
Tout l’équipement de sécurité (casque, harnais) est fourni. Il est conseillé de porter des vêtements à séchage rapide et des sandales de randonnée fermées ou de vieilles baskets à cause du terrain humide.
Non—le terrain comprend des rochers glissants, des pentes raides et de l’eau courante ; ce n’est pas recommandé pour les personnes ayant des difficultés à marcher ou des problèmes de dos.
La visite peut être annulée ou reportée si les conditions sont dangereuses ; une autre date ou un remboursement vous sera proposé.
Votre journée comprend le transport aller-retour depuis certains hôtels de San Juan, tout l’équipement technique comme casques et harnais pour les tyroliennes et rappels dans la forêt de Carite, l’accompagnement d’experts locaux à chaque étape (et glissade), ainsi qu’un copieux déjeuner portoricain avec boissons avant le retour en ville l’après-midi.
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