Vous marcherez sur des sentiers millénaires à Uplistsikhe, partagerez un déjeuner à Gori (avec des khinkali si vous avez de la chance), vous tiendrez sous les dômes anciens de la cathédrale Svetitskhoveli et ressentirez à chaque étape la complexité de l’histoire géorgienne. Une journée pour ceux qui aiment les histoires palpables — et peut-être un peu de churchkhela coincé entre les dents.
« Vous avez déjà goûté la churchkhela ? » nous demande notre chauffeur en quittant Tbilissi, alors que la ville s’efface derrière des collines verdoyantes. Je ne savais pas ce que c’était — une sorte de bonbon ? Il rit et m’en tend une, collante et pleine de noix, que je mâche en route vers Uplistsikhe. L’air sentait la pierre mouillée après la pluie de la nuit, et notre guide Nino nous montre les anciennes traces de roues gravées dans la roche — de véritables sillons vieux de plusieurs siècles. Là-haut, c’était plus calme que prévu ; juste le vent, la rivière en contrebas, et nous, à faire attention à ne pas glisser sur les marches lisses.
Le déjeuner se prend à Gori, dans un petit resto où la fille du propriétaire jetait des coups d’œil depuis la cuisine. On a mangé des khinkali qui m’ont brûlé les doigts (je n’arrive jamais à bien les tenir), mais les autres s’en sortaient très bien. Ensuite, visite du musée Staline — un peu surréaliste, avec sa maison d’enfance juste à côté. Notre guide ne fuyait pas les questions gênantes ; elle haussait simplement les épaules en disant : « L’histoire ici est compliquée. » Ça m’a marqué plus que n’importe quel objet exposé.
Plus tard, à Mtskheta, le monastère de Jvari domine tout en haut — un vent fort a failli m’emporter mon foulard alors qu’on admirait la confluence des deux rivières. La lumière était dorée sur la cathédrale Svetitskhoveli en fin de journée. Un groupe de femmes allumait des bougies à l’intérieur ; je les ai observées un moment, comme si ce calme méritait qu’on le savoure lentement. Je repense souvent à cette vue quand je ferme les yeux — vous savez, ces endroits qui s’ancrent dans la mémoire ? Bref, on est rentrés à Tbilissi au coucher du soleil, fatigués mais avec une sensation de plénitude difficile à décrire.
La visite dure environ 8 à 9 heures, avec tous les arrêts et le retour à Tbilissi.
Oui, un déjeuner dans un restaurant local à Gori est compris dans la visite.
Vous découvrirez la ville troglodyte d’Uplistsikhe, le musée Joseph Staline à Gori, le monastère de Jvari et la cathédrale Svetitskhoveli à Mtskheta.
Oui, le transport depuis Tbilissi est inclus pour tous les participants.
Oui, les shorts sont interdits dans les églises et les femmes doivent se couvrir la tête.
L’âge minimum est de 5 ans ; les familles sont les bienvenues.
Un guide professionnel vous accompagne tout au long de la journée.
Oui, elle se fait par tous les temps ; il est conseillé de s’habiller en conséquence.
Votre journée comprend un transport confortable depuis Tbilissi avec prise en charge près de la station de métro Avlabari, un guide local expert à chaque étape — entrée à la ville troglodyte d’Uplistsikhe, visite du musée Staline à Gori, déjeuner dans un restaurant traditionnel, puis découverte du monastère de Jvari et de la cathédrale Svetitskhoveli. Retour à Tbilissi en soirée avec plein d’histoires (et peut-être un peu de churchkhela) à raconter.
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