Partez tôt le matin d’Oaxaca en petit groupe avec un guide local, explorez les anciennes places et gravures de Monte Albán sous la lumière du jour naissant. Touchez des pierres millénaires et écoutez les récits zapotèques avant de redescendre — une expérience plus intense qu’on ne l’imagine.
Nous étions déjà en route avant que le soleil ne réchauffe vraiment Oaxaca — je me souviens des portes du van qui s’ouvraient doucement, de cette fraîcheur légère dans l’air, et du bruit discret des passagers qui montaient, encore ensommeillés, avec leur souffle parfumé au café. Notre guide, Andrés, nous a accueillis comme si on se connaissait déjà (ou alors il a juste ce regard familier), et nous avons pris la route en montée hors de la ville. Le trajet a duré une vingtaine de minutes, mais il m’a semblé plus long, tant la silhouette de Monte Albán se dessinait de plus en plus nettement contre le ciel. Je ne cessais de me pencher pour mieux voir — je ne sais pas pourquoi j’étais si impatient d’arriver.
Quand nous avons enfin posé le pied au sommet, la lumière était plus vive que ce que j’imaginais. Les pierres sous nos pas restaient fraîches de la nuit. Andrés a commencé à nous parler des Zapotèques, en montrant les endroits où ils avaient gravé leurs histoires dans la roche. Il y a eu ce moment où il nous a montré un terrain de jeu de balle — il a mimé la façon dont ils jouaient, les bras un peu désordonnés — et quelques locaux proches ont ri de son enthousiasme. Le vent portait une odeur de terre sèche mêlée à celle des fleurs sauvages (ou peut-être juste des herbes folles ?), et honnêtement, ça m’a donné faim alors que j’avais déjà mangé mon sandwich dans la file plus tôt. Le mot-clé ici, c’est clairement visite Monte Albán depuis Oaxaca — c’est un de ces endroits dont on entend parler, mais qu’on ne comprend vraiment qu’une fois sur place.
J’ai essayé de répéter quelques noms zapotèques après Andrés (il a souri poliment ; j’ai sûrement massacré la prononciation). Nous avons déambulé devant des tombes et des plateformes cérémoniales pendant qu’il expliquait l’ancienneté des lieux — des siècles empilés sur des siècles. Parfois, je m’arrêtais juste un instant pour regarder les nuages glisser au-dessus de la vallée ou écouter le bruit des pas sur le gravier derrière moi. Il y a quelque chose de paisible, presque magique, dans ces ruines à cette heure-là ; peut-être parce qu’il n’y avait pas encore foule, ou parce que tout le monde semblait à la fois à moitié réveillé et respectueux.
La visite s’est terminée avant midi, mais elle a semblé durer plus longtemps — le temps s’étire quand on marche à travers l’histoire ancienne comme ça. Sur le chemin du retour vers Oaxaca, je n’ai pas cessé de jeter un coup d’œil à Monte Albán par la fenêtre, jusqu’à ce qu’il disparaisse derrière les arbres. Je repense souvent à cette vue, surtout au calme qui régnait là-haut, loin du bruit de la ville en contrebas.
La visite dure environ 4 heures, transport depuis Oaxaca inclus.
Oui, la prise en charge et le retour à l’hôtel à Oaxaca sont inclus dans la réservation.
La prise en charge débute à 7h00 pour éviter les files d’attente à l’entrée du site archéologique.
Oui, les bébés et jeunes enfants sont acceptés ; les poussettes sont autorisées sur le site.
Oui, votre guide parle anglais et espagnol tout au long de la visite.
Mieux vaut prendre un petit-déjeuner avant ou emporter un repas et de l’eau pour être à l’aise pendant les temps d’attente.
Le transport est accessible aux fauteuils roulants ; vérifiez les accès spécifiques au site avant la visite.
Votre matinée comprend la prise en charge à votre hôtel à Oaxaca, le transport aller-retour en bus confortable, l’entrée à Monte Albán avec un guide local bilingue anglais-espagnol qui vous accompagne parmi les ruines et gravures, avant le retour vers midi.
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